Archives pour la catégorie Non classé
Bonne année 2019
Nouvelles Octobre 2018
L’année scolaire démarre sur les chapeaux de roue, et il est temps pour moi de me poser quelques instants pour vous partager ce qu’il y a de neuf.
Sujets de prière 🙏 👨🏫 TopFormation est en cours de refonte, que le Seigneur nous inspire sur les choix et la mise en œuvre. L’impact du projet “Qui est Jésus ?” ⭐️ La vie de famille 👨👩👧👧 qui se réorganise avec la reprise à temps plein de Célia Merci Seigneur pour les nouveaux chefs qui ont rejoint le groupe scout des flambeaux d’Ozoir la Ferrière 🔥. Prions pour leur intégration. |
Nouvelles Octobre 2017
Le projet scoutisme redémarre fort
Nous avons pu être présent à la journée des associations d’Ozoir La Ferrière en début septembre. De tous les contacts que l’on a eu ce jour-là, 4 enfants de familles non chrétiennes sont venues à notre réunion de rentrée, dont un qui habite dans notre rue.
Sujets de prière L’évènement du 26 novembre L’impact du spectacle Jésus sur la société française La préparation de Célia au concours de professeur L’impact du projet scoutisme surtout auprès des enfants de la ville |
Nouvelles Juin 2017
Notre petite maison à Ozoir la Ferrière
Si j’écris cet article aujourd’hui c’est pour rendre Gloire à Dieu et dire que quand Dieu a un projet il donne le budget et peu importe la situation rien ne peut l’arrêter. Je veux montrer comment il bénit. Dans cet article je vais beaucoup parler d’argent mais vous verrez qu’il ne s’agit pas de combien on a dépensé (ce qui est pourtant logique dans un projet de construction) mais de combien on a gagné, et oui ! Je m’explique :
- Le contexte
Nous habitons en région parisienne et comme beaucoup le savent sûrement les prix du marché immobilier en région parisienne sont excessivement chers. Du côté de chez nous les prix du marché sont équivalents au prix du centre d une grande ville de province. Je suis Professeur contractuelle à mi-temps désormais en congé parental et Marc est missionnaire au Top Chrétien avec un salaire raisonnable. À nous deux on entre dans le panel des classes moyennes dans la ligne du salaire médian pour ceux qui auraient des notions d’économie.
Nous vivions dans un appartement de 58m2 avec deux chambres. Nous souhaitions agrandir la famille avec un deuxième enfant et comme toute famille dans cette situation nous avons décidé qu’il était temps de chercher un logement plus grand.
En regardant les prix du marché une maison semblait inaccessible, à part des maisons très vieilles qui auraient demandé de nombreux travaux, résignée je me suis donc retournée vers les appartements. Je gardais toujours, cependant, dans mon cœur cette envie de vivre dans une maison. En effet, je n’avais jamais vécu dans une maison de ma vie et j’en avais toujours eu très envie. Je ne priais pas dans ce sens car pour moi tout cela n’était que du matériel et si l’Eternel a donné et que demain il devait reprendre que son nom soit loué, je l’accepterais. Mais mon papa du ciel connaissait les désirs de mon cœur. Plus je cherchais l’appartement idéal moins j’étais convaincue. Un soir Marc m’a dit « si on regardait dans les terrains à construire et ensuite on pourrait mettre une maison pas trop cher dessus et se débrouiller », l’idée me semblait bonne, alors c’est ce que j’ai fait.
- Le prix du terrain
J’ai donc cherché des terrains à construire sur un site très bien fait http://www.terrain-construction.com/. J’ai vu des prix très intéressants dans les villes aux alentours (rien à Ozoir la Ferrière), je n’en revenais pas ! Très vite je suis rentrée en contact avec un constructeur qui nous a fait visiter un terrain à Pontault-Combault, une ville pas très loin d’Ozoir mais pas à côté non plus. Le projet présentait des avantages et des inconvénients (Marc n’aurait pas pu continuer de se rendre au travail en vélo et la maison aurait été loin de la gare nécessitant une deuxième voiture). On était tout de même prêts à faire des concessions. Puis nous avons commencé a faire des balades dans le quartier et notre ressenti n’était pas positif sur le projet. Les semaines ont passé et le projet n’avançait pas alors on a dit au constructeur que l’on continuerait à chercher ailleurs. Il semblait être motivé pour nous garder comme client du coup le weekend qui a suivi il nous a montré 4 autres terrains en terminant par celui d’Ozoir la Ferrière. Le terrain en lui même ne payait pas de mine et n’inspirait rien de bien. Or le vendeur avait eut l’idée de mettre des plans et une maison en image de ce que l’on pourrait obtenir sur un tel terrain et cela donnait envie. Du coup ce fut le coup de cœur car cela représentait pour nous le projet parfait avec tous nos critères réunis, on a dit « ok on le veut ! » Lui s’était bien caché de nous dire que le terrain était hors budget, il nous a laissé rêver tout le weekend. Le lundi on s’est rendu à son agence, il nous annonce la mauvaise nouvelle et nous dit qu’une négociation est toutefois possible. En effet, cela faisait un an que le terrain était en vente sans preneur. On a donc négocié à la baisse. Nous avons donc pu l’obtenir pour 10 000 euros de moins pour que cela rentre dans notre budget.
- Le prix de la maison
Au niveau de la maison le constructeur s’est calé sur les plans qui avaient déjà été dessinés. En effet, il s’agissait de la configuration la plus optimale qui nous permettait d’avoir la maison la plus grande possible sur ce terrain. Un problème s’est présenté au niveau du calcul du coût de la maison, les commerciaux ont oublié un rang de briques, ils nous ont donc annoncé que cela coûterait 7000 euros de plus. (ce coût en plus ne fut pas un problème au niveau de la banque, on a donc pu continuer et finaliser le contrat). Puis nous sommes allés rencontrer le directeur technique, lors de cette visite, il nous a dit, furieux, que les commerciaux ont oublié de nous facturer encore 2 rangs de briques par rapport au plan de la maison (et beaucoup d’autres détails techniques qui auraient du augmenter le prix de la construction). Cela a représenté une économie de plus de 15 000€ sur le prix de la maison. Il était furieux, nous étions heureux et avons dit merci Seigneur parce qu’avec 15 000 de plus la banque n’aurait pas suivi.
- La vente de notre appartement
Parallèlement à cela il fallait vendre notre appartement. Marc avait acheté seul à l’époque où il travaillait dans le séculier et gagnait bien sa vie. Nous savions que les prix du marché avaient stagné durant les dernières années et que vendre plus cher que ce qu’il avait acheté serait compliqué. Quand nous avons fait les estimations un des agents immobilier (la plus honnête et celle que nous avons donc retenue pour vendre l’appartement) nous l’a estimé à 130 000-140 000€ maximum. Nous en voulions 160 000€ (pour couvrir le prix d’achat et les travaux effectués). La déception était grande, mais nous n’étions pas découragés. Au moment de la vente nous avons décidé de ne pas l’écouter et de le mettre en vente à 160 000€, elle a accepté mais n’y croyait pas. 2 jours après la mise en vente un jeune couple très mignon est venu et a flashé, il voulait acheter on en était convaincu, ils ont donc tenté une négociation, nous aussi et à la fin nous avons vendu notre appartement 154 000€. Dieu est grand ! On était super heureux.
- Le prix de la cuisine
Nous avons décidé que nous voulions une cuisine fonctionnelle et agréable car nous cuisinons énormément, tout est fait maison chez nous. Du coup la cuisine est un vrai lieu de vie, il nous fallait donc une cuisine agréable. Nous sommes allés chez Cuisinella pour flâner et rêver un peu sans aucune intention d’achat. On passait par là quand un commercial nous est tombé dessus, je me suis dit « au secours ». Nous avions un budget précis et Cuisinella était hors budget. Il a fait son boulot de commercial et après nous avoir bien retourné le cerveau on s’est retrouvé assis à discuter cuisine avec lui. Nous avons donc fait une première ébauche avec le cuisiniste en juillet. Suite à cette première ébauche il nous a dit « votre cuisine est au dessus de votre budget mais comme nous sommes en période creuse vous aurez une réduction de 5% de la part du magasin et l’usine peut rajouter maximum 10% ». On le retrouve donc en août pour finaliser le projet et après une heure de discussion il nous donne enfin le prix et effectivement la cuisine était hors budget (déception). Puis il ajoute « je ne sais pas comment j’ai fait, je suis trop fier de moi, mais j’ai réussi à vous avoir 20 % de réduction ». Ce qu’il ignore c’est qu’il a du droit à un coup de pouce Divin. Du coup la cuisine est passée largement en dessous du budget et nous avons même pu rajouter un petit détail esthétique qui nous faisait plaisir (surtout à moi).
- Le terrain supplémentaire
Quand Dieu a décidé de bénir il ne fait pas les choses à moitié. Le projet a donc démarré et il avançait bien. Quand en octobre, catastrophe ! On se rend compte que la maison a été décalée d’ 1 mètre en arrière par rapport au permis de construire, elle se retrouvait donc trop près de chez le voisin de derrière. La mairie a, de ce fait, bloqué le projet une fois l’erreur signalée jusqu’à ce qu’une solution soit trouvée. La solution, proposée par notre voisin, était de nous vendre 1 mètre de terrain sur toute la longueur problématique, soit 11m2. Évidement l’erreur venant du constructeur c’est lui qui payera l’achat, les frais de notaire et fera les travaux pour mettre une nouvelle clôture. Mais maintenant au lieu d’avoir un terrain de 187m2 nous avons un terrain de 198m2 aux frais du constructeur. On se fera une joie de pouvoir rajouter un petit potager à l’arrière de la maison.
- La famille de Dieu
Je termine par le fait que Dieu ne nous a pas seulement béni financièrement dans ce projet. Il nous a aussi béni avec une famille de Dieu précieuse. Le décalage du terrain d’un mètre en arrière nous a fait prendre 4 mois de retard sur le projet et procurer beaucoup de stress. Notre fille Elyn est donc née et nous nous sommes retrouvés dans notre appartement de transition à 4 avec deux chambres de 7m2 (un escalier pour accéder à l’appartement sans ascenseur et des voisins de dessous complètement fous). Il était très compliqué de gérer tout cela, il fallait donc partir vite. Notre fille est née le 15 mai 2016, la maison a été livrée le 24 mai, nous avons donc décidé de casser la tirelire (après tout Dieu nous avait fait économisé et gagné tellement), de prendre un peintre pour la peinture (chose que nous avions prévue de faire nous même et qui aurait été fait tellement moins bien ) et de garder tout le reste pour nous. Nous avons lancé le préavis de départ (en région parisienne un mois suffit) et c’était parti pour terminer notre maison dans les temps (en tout cas c’est ce que l’on pensait). Or nous avions complètement sous-estimé la charge de travail qui restait à faire. Les peintres ont mis deux semaines, il nous restait donc deux semaines pour faire tout le reste. Au bout d’une semaine quasiment tout seul Marc avait très peu avancé et était sur les rotules, moi également à devoir gérer les filles toutes seules.
Nous avons envoyé des messages à tous nos amis, en leur présentant la liste de ce qu’il restait à faire. Et là, l’amour a agi, Marc est arrivé à la maison et a commencé à me faire la liste de toutes les personnes qui se sont proposées de passer pour faire tout ce qu’elles pouvaient dans la maison ; de mon côté je recevais des sms de partout pour proposer également de l’aide. Si vous lisez ces mots sachez que tout cela nous a beaucoup ému et que votre amour nous a touché au plus profond de notre cœur. C’est comme cela que nous avons pu finir en une semaine tous les travaux qu’ils restaient à faire pour rendre la maison habitable et que nous sommes désormais installés.
- Les taux immobiliers très bas
A la fin de la construction, nous avons pu voir que les taux des prêts immobiliers avaient chuté depuis le début du projet. Ceci nous a permis de renégocier le prêt bancaire et de réduire la durée à 20 ans au lieu de 25 ans. Nous nous retrouvons donc propriétaire d’une maison qui nous coûte autant qu’un loyer pour un appartement de taille équivalente dans notre secteur.
Conclusion
Je veux remercier Notre Dieu pour tout ce qu’il a fait . Notre maison comme tous les lieux où nous avons pu vivre ne nous appartient pas et nous savons déjà qu’il fera de grandes choses au travers de cette maison pour l’avancement de son royaume. Nous savons qu’en habitant là nous sommes dans un confort par rapport à la distance au travail (Marc est à 7 minutes en vélo de son travail) et que cette merveilleuse maison de 92m2 est suffisamment grande pour nous 4. Ce que nous ignorons c’est comment Dieu va se servir de cela pour sa Gloire et nous avons hâte de le découvrir. Que l’Éternel soit béni pour tous ces Bienfaits. AMEN !
Campagne de levée de fond
Ce mois de janvier au TopChrétien, est dédié pour l’aider trouver le financement pour mon ministère. Découvrez à cette occasion ma nouvelle vidéo de présentation.
Retrouvez la campagne de don sur http://missionnaires.igive.today/projet/soutenons-marc-et-sa-mission-au-top/
Lancement TopBible
Après plus d’un de travail pour préparer la refonte du site TopChrétien, la première section à être réécrite est enfin sortie, il s’agit de TopBible. Parmi les principales nouveautés :
- Le lexique grec-hébreux
- La géolocalisation des lieux bibliques
- Des plans des lecture
- …
Une rupture technologique – du PHP au Python
J’ai essayé de rendre la narration de l’histoire la plus accessible possible. Et pour ceux qui aimeraient avoir tous les détails concernant la technique, vous les trouverez dans la deuxième partie de cet article.
L’histoire
Les débuts du projet
L’idée de la refonte du portail TopChrétien ne date pas d’hier et une réflexion de fond a véritablement commencé au début de l’année 2011. A cette époque, nous étions également en train de développer le moteur de ce qui allait devenir TopFormations. Le développement de cette nouvelle section du Top était pour moi l’occasion de tester des nouveaux choix techniques sans pour autant entrer en rupture complète avec la technologie existante sur le Top. Ce test avait pour but de valider sur un projet réel que ce choix serait le bon pour le nouveau portail TopChrétien.
La top coding party
Pour ceux qui ont suivi, nous avons organisé en septembre 2012 une TopCodingParty où nous avons invité sous la forme d’un concours les développeurs et web-designer chrétiens à venir au Top et développer des projets pour des œuvres chrétiennes. Suite à cet événement, nous avons pu faire des connexions avec plusieurs d’entre eux.
Le point de non retour
Les développements de TopFormation s’étant bien passés, je me suis dit que ce choix serait le bon et le moins risqué pour l’avenir du Top. Nous approchions du point de non-retour. En effet, le moment du développement du portail proprement dit approchait à grand pas. Et une fois le travail commencé, il devient très difficile de changer car il faut tout reprendre de zéro.
C’est également à cette période que l’on a cherché à recruter des personnes pour nous aider car le développement d’un tel site est une lourde tache. Nous avons donc envoyé une proposition de travail à plusieurs des personnes que l’on avait rencontrées lors de la TopCodingParty. Nous savions qu’il y avait peu de chance que cette démarche aboutisse, car chacun d’entre eux était bien investi dans leur travail respectif.
une réponse
A notre grande joie, une personne a répondu qu’elle serait intéressée par la proposition. Elle avait déjà à cœur de devenir indépendant et le contrat que lui proposait le TopChrétien lui permettrait d’assurer le démarrage de son entreprise. Il s’agit de Mathieu.
Le détail qui fache
Parmi toutes les conditions posées par le projet, il y en a une qui le dérangeait tout particulièrement et c’est le choix de la technologie. En effet, le choix avait été fait d’utiliser le language PHP. Bien que ce soit un language utilisé par de nombreux grands sites, PHP est un peu considéré comme le language du bricoleur du dimanche et peu utilisé par les grandes sociétés informatiques.
Mathieu de son côté préconisait l’utilisation du langage Python. Ce n’est pas le language utilisé le plus sur le web mais il est utilisé par un nombre non négligeable de startup à succès (youtube, instagram, pinterest…).
Après de nombreuses discussions, Mathieu a accepté le choix du langage PHP malgré ses réticences. Si ça n’avait pas été pour l’œuvre du Top, la réponse aurait été un « non » catégorique.
Une parole inattendue
Lors d’un temps de jeûne et prière que l’on a eu en équipe, nous avons pris un temps pour prier pour le projet en général (peu de personnes étant au courant de cette question du choix de la technologie). Après ce temps de prière, Muriel est venue me voir car elle avait une parole sur le cœur qu’elle souhaitait partager. Dans cette parole, Dieu nous invitait à ne pas avoir peur des choses nouvelles et de frayer des chemins nouveaux dans le domaine des nouvelles technologies.
la torture mentale
Alors que jusqu’ici malgré toutes les discussions le choix était arrêté sur le choix de PHP, je n’étais pas tranquille dans mon esprit à l’idée du choix de la technologie. Après en avoir longuement parlé avec Emmanuel Schulz, nous avons fait un tableau comparatif des différentes technologies pour nous permettre de faire un choix en ayant des critères objectifs. Les critères n’étaient pas uniquement liés à la technologie elle-même mais aussi à l’impact sur le planning, au risque pris pour chacun des choix… Suite à cette étude, le PHP est sorti en tête (bien que de peu) par rapport aux autres choix.
L’un des éléments qui nous gênait le plus dans le fait de choisir un autre langage était celui du délai. En effet, qui dit nouveau langage, dit aussi un temps d’apprentissage. Considérant le fait que Mathieu devait : démissionner, puis ensuite venir nous former, pour que l’on puisse enfin commencer l’architecture et les développements ; ce n’était pas envisageable car on perdrait ainsi 3 mois sur le planning déjà très court.
La visite de Mathieu
Mathieu était intéressé par le projet. Mais avant qu’il donne sa démission, nous avons voulu nous rencontrer face à face afin de donner plus de détails sur le projet. Nous serions ainsi sûrs les uns et les autres que l’on souhaitait bien travailler ensemble. Nous lui avons donc reconfirmé ce jour-là le choix de PHP.
Avant qu’il ne parte du Top pour aller voir son employeur, je lui dit sur le parking sous la forme d’une boutade à moitié sérieuse : « Si tu commences avec nous lundi prochain, on peux partir sur Python ».
Son rendez-vous avec son employeur
Le lendemain il rencontrait donc son patron pour lui annoncer la nouvelle et l’entretien s’est très bien passé. Non seulement il n’a pas été obligé de faire son préavis de 3 mois, mais il a pu également poser à partir du lundi suivant deux semaines de congés.
On lui a donc proposé de venir dès la semaine suivante. Il avait ainsi deux semaines pour nous convaincre que le Python est mieux que le PHP.
épilogue
Au jour où j’écris ce blog, Mathieu a terminé son travail auprès de son précédent employeur et le choix du Python s’est avéré pertinent. Rendez-vous dans quelques mois pour le lancement du site pour que vous puissiez profiter des nouveautés !
Vous pouvez lire l’histoire du point de vue de Mathieu sur son blog.
Les détails techniques pour les plus curieux
Au delà du choix du langage, ce sont de nombreux autres choix technologiques qui ont été faits. Certains avaient déjà été faits avant que Mathieu n’intervienne, d’autres ont été faits car tout ceci nous a vraiment poussé à remettre à plat complètement nos choix.
Voici donc les différentes nouvelles technologies que nous allons utiliser. Ce qui est intéressant c’est que les choix que l’on a fait sont très proche de ceux d’intagram, lisez cet article dans un blog où ils donnent plus de détails (en anglais).
Python à la place de PHP
Faire un comparatif entre Python et PHP sort largement du cadre de cet article (internet regorge d’article à ce sujet). En ce qui nous concerne, voici quelques éléments intéressants.
En préliminaire je rappellerai que la qualité d’un logiciel ne dépends pas de la qualité du langage mais avant tout de la compétence des développeurs. En effet on peut faire un bon logiciel avec un langage pourri et faire un logiciel pourri avec un bon langage.
- Python a été conçu comme un véritable langage en 1991 à usage général
- PHP a été conçu en 1995 comme une bidouille pour faire des petits site webs
- Les deux sont des langages interprétés
- Faire un néophyte, il est plus rapide d’apprendre PHP que Python
- La philosophie de Python invite à coder proprement
- Il n’y a aucune philosophie en PHP
- La syntaxe de Python est très compacte et globalement plus lisible
- …
Django à la place de Symfony2
Avec le langage viennent également tout un ensemble d’outils. En particulier le choix du framework est important car c’est la boite à outils qui va nous aider à développer le site. Initialement avec PHP nous étions parti sur le framework Symfony2, car c’est celui que j’avais testé avec succès sur TopFormations. En utilisant le python, il a fallu faire le choix d’un framework du monde python. Le choix s’est naturellement porté sur django, car c’est un des frameworks python les plus populaires du moment et c’est celui que Mathieu maîtrise.
Nginx à la place d’Apache
Ce choix n’était pas évident de prime abord. Apache est le serveur web le plus utilisé sur Internet (et de loin). C’est un serveur web rempli d’un grand nombre de fonctionnalités mais le prix à payer est la performance. Nginx prend le parti opposé : en faire moins, mais le faire de manière plus efficace. Nginx est maintenant de plus en plus utilisé sur les sites à fort traffic. En savoir plus… (lien en anglais)
PostgreSQL à la place de MySQL
MySQL est un moteur de base de données gratuit très populaire car il est très simple à installer et utiliser. Par contre il a un certain nombre de lacunes qui sont comblées par son principal concurrent PostgreSQL (lui aussi gratuit). Notamment avec MySQL, la complexité des requêtes est parfois limitée, la gestion des transaction et des contraintes est incomplète et peu performante. Le passage à PostgreSQL était assez naturel pour moi, l’ayant déjà utilisé intensivement par le passé.
Vacances d’été hors-saison
Cet été nous avons choisi de prendre nos congés d’été un peu hors saison et nous sommes donc partis à la fin du mois de juin. Pendant un peu plus d’une semaine nous avons pu voir la famille, profiter de la plage et avoir des places aux Futuroscope à un tarif préférentiel.
Des chevaux sur la plage
Au futuroscope
Visite dans les châteaux de la Loire en remontant sur Paris